Plusieurs sorties sur la journée, d'environ 160-170 km, ont été réalisées pour s'entraîner en vue de nos projets longue distance du mois de juin (les 110 km en 5 jours de Dunkerque-Hendaye, les 421 km en 3 jours de l'Ardéchoise Châtaigne-Vélo-Marathon, et les 220 km de VTT en 5 jours du "chemin Stevenson").
L'une de ces sorties est fixée le jeudi 04 juin 2009, avec au programme un circuit jusqu'au col du Béal. Le point de rassemblement habituellement au Petit Bois est déplacé devant la maison de notre doyen Jean, puisqu'elle est située dans la direction prise au sortir de Roanne.
C'est une belle journée qui commence avec un ciel ensoleillé, et le petit groupe d'une douzaine de cyclos grimpe avec entrain la montée de Cremeaux.
Au sommet, ils profitent de la présence d'un café pour s'octroyer une petite pause.
À cette occasion,
un farceur a coiffé la statue qui se trouve là,
d'un casque de cycliste
(le sien, ou celui du copain?).
Après la descente sur Juré, la route recommence à s'élever doucement jusqu'à Noirétable.
Il est ensuite l'heure de casser la croûte, avec le pique-nique tiré du sac, en plein air, peu avant le village de La Chambonie.
Ce n'est pas le tout de se restaurer, il faut également se réhydrater, et à ce titre les fontaines d'eau fraîche sont très appréciées, surtout après une ascension de col.
C'est celle du col du Béal, gravi par son versant passant par Le Brugeron (il existe trois possibilités), qui constitue l'objectif de cette sortie, et cela vaut bien une traditionnelle photo de groupe autour de son panneau.
Le retour sur Roanne empruntant un tracé différent, la redescente s'effectue donc sur un autre versant, celui à l'est jusqu'à Chalmazel. Nouvelle halte dans un café où l'on s'offre un rafraîchissement sur sa terrasse.
La suite du parcours traverse Boën puis Saint-Germain-Laval.
Ici les cyclos ont encore soif et doivent se livrer à quelques acrobaties pour se procurer un peu d'eau.
Il devient d'ailleurs de plus en plus problématique d'en trouver au cours de nos sorties, de nombreux robinets n'en délivrant plus ou disparaissant carrément. Il va donc falloir à l'avenir prendre davantage de précautions pour ne pas tomber en panne sèche, et bien mémoriser les rares endroits où l'on peut encore s'approvisionner.